Pensée du mardi 1 avril 2003

Devant les malheurs qui frappent l'humanité, partout on …

01/04/2003

Devant les malheurs qui frappent l'humanité, partout on entend des gens se plaindre que le monde est mal fait. Ils parlent, ils critiquent, ils se plaignent, ils s'irritent, et pendant qu'ils sont occupés à leurs commentaires, leurs plaintes et leurs colères, le mal, lui, continue à agir. D'après eux, c'est Dieu qui est responsable, puisqu'Il ne fait rien pour l'arrêter.rnJe vous l'ai souvent dit: le diable - disons le diable - a une qualité, une seule, mais une qualité extraordinaire: il est actif, énergique, infatigable. Tandis que les gens de bien sont faibles et vite fatigués. Il leur suffit d'être gentils, inoffensifs; quand ils ont fait quelques bonnes actions, ils sont contents d'eux et il faut qu'ils se reposent. Quand vont-ils se remettre au travail, on n'en sait rien. Le bien ne les stimule pas comme le mal stimule les méchants. Mais la faute à qui? Ce n'est pas le Seigneur qui les empêche de trouver une attitude fraternelle et de travailler pour le bien de la société.