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Pensée du jeudi 20 novembre 2008
Que, dans des cas exceptionnels, des parents donnent une …
Que, dans des cas exceptionnels, des parents donnent une gifle ou une fessée à leur enfant, cela ne peut pas lui faire de mal. Seulement voilà, à ce moment-là, ils doivent veiller à ce que leur regard n’exprime aucun sentiment négatif, parce que l’enfant oubliera vite la gifle ou la fessée, mais il n’oubliera jamais un mauvais regard. Donc, attention ! Quand une mère doit corriger son enfant, il faut qu’elle reste maîtresse d’elle-même, qu’elle montre à l’enfant qu’elle souffre d’être obligée de lui donner cette correction. Qu’elle lui dise : « Tu vois, je ne voudrais pas te frapper, mais c’est toi qui m’y obliges parce que tu as mal agi. » Et ensuite, allez… la fessée ! Alors, l’enfant sent que c’est par sa faute à lui que sa mère est obligée d’agir comme elle le fait. Il réfléchit et commence à comprendre qu’il existe des lois qu’il ne faut pas transgresser, et peu à peu cela produit en lui une grande amélioration.
Omraam Mikhaël Aïvanhov
