Pensée du vendredi 19 janvier 2007

Lorsqu’elle arrive sur notre table, la nourriture la mieux …

19/01/2007

Lorsqu’elle arrive sur notre table, la nourriture la mieux préparée, la plus succulente, n’est pas encore prête à être parfaitement assimilée par notre organisme, elle est une matière étrangère qui ne vibre pas à l’unisson avec lui. Or, toute particule qui ne vibre pas à l’unisson avec l’organisme le dérange. Combien de gens sont malades non pas à cause de ce qu’ils mangent, mais à cause de leur façon de manger ! Nous devons donc apprivoiser la nourriture, la rendre amie, et pour cela nous habituer à prendre les repas dans le silence, avec recueillement, amour, reconnaissance. Seuls la pensée et le sentiment sont capables de travailler sur la nourriture pour la transformer en la rendant parfaitement assimilable, ainsi que de distribuer harmonieusement les énergies à travers tout le corps.