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Pensée du samedi 3 août 2024

Oublier (s’) - pour pouvoir penser à son partenaire, à ses enfants

Lorsqu'un enfant est tout petit, il n'a pas d'autres préoccupations que de se nourrir, de jouer avec les objets qui l'entourent, et dès qu'on le contrarie un peu, il crie, il pleure. L'enfant est un petit monstre d'égoïsme : oui, mais à cet âge-là c'est normal, c'est naturel. Les adultes, le père, la mère comprennent qu'on ne peut rien lui demander d'autre. Mais s'il garde ce même comportement quand il est plus grand, on le gronde, on lui donne même quelques réprimandes, car il faut qu'il change et cesse de ne penser qu'à lui. Plus tard, il éprouvera le besoin de former un couple, puis d'avoir des enfants... Pourquoi l'Intelligence cosmique a-t-elle arrangé les choses ainsi ? Pour amener les humains à s'occuper d'autres êtres qu’eux-mêmes : un mari ou une femme et des enfants, d'abord... Mais combien ont compris cette leçon que veut leur donner l'Intelligence cosmique ? Combien sont capables de s'oublier un peu pour penser sincèrement, de façon désintéressée, à leur femme, à leur mari, à leurs enfants ?*

Omraam Mikhaël Aïvanhov
Voir le livre Les deux arbres du Paradis, chapitre I.




Syntaxes de recherche sur les pensées

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+Mot1 +Mot2 : recherche sur les 2 mots.
"Mot1 Mot2" : recherche sur l'expression  entre " " .
Mot1* : recherche sur le début du mot, quelle que soit la fin du mot.
-Mot : le mot derrière -  est exclu de la recherche.